Un toit pour nos rêves.

4 avril 2011 par laptitegrainefolle 16 Commentaires

La semaine dernière, pendant mon tour  hebdomadaire sur les sites d’immobilier (chacune ses passions j’ai envie de dire :D), j’ai trouvé LA maison. Elle ne correspond pas à nos tous premiers critères, mais plutôt à ceux que l’on s’est refixé récemment. Elle m’a faite craquer, totalement…alors je l’ai montrée à mon monsieur. Et pour la première fois, il a totalement craqué aussi.
Bon, craquer pour quelques photos c’est bête n’est-ce pas ? Mais comme on fait pas les choses à moitié, nous on veux changer de région… Alors pour le moment les photo c’est plutôt pas mal.

Mais du coup on a pris une grand décision! Puisque le week-end de pâques on sera « là bas », et bien on va en profiter. On va aller visiter cette maison qui nous fait rêver depuis une semaine. Notre toute première visite, pour notre -peut être?- toute première maison.
Je me sens toute chose.
Et puis à bien y regarder, elle se trouve à 5 minutes à pied d’une possibilité de poste (hooo le joli jeu de mot avec le travail du monsieur!!) pour lui. Offre reportée et encore reportée depuis des mois… à laquelle il ne postulait pas puisqu’on n’allait pas partir comme ça… Là, la date limite pour postuler est dans deux jours et le poste à prendre au 1er mai. Trop tôt. Alors on croise les doigts pour un énième report… et il postulera au prochain coup.
Je me sens toute chose.
Alors tout à l’heure j’ai appelé l’agence immobilière. Parceque « là bas » le week-end de Pâques est un peu spécial. J’ai eu raison. C’était pas gagné. Et puis on est sympathiques, les dames de l’agence aussi. Alors ça va le faire. Après un joli fou rire au téléphone, on fini par convenir d’un rendez-vous…adaptable en fonction de notre heure d’arrivée. Les numéros sont échangés. Au pire on leur offrira l’apéro je pense, tellement elles ont été sympas! Donc on verra la maison le 23 avril. J’en reviens pas.
Je me sens toute chose.

Je me sens heureuse. Légère.

On a peut être trouvé un home sweet home pour voir nos rêves prendre forme. Ailleurs que dans cette maison où les vieux souvenirs ne laissent pas de place pour construire notre avenir. Dans une maison où il n’y aura pas la poussière de plusieurs générations.

Alors on croise les doigts. On rêve. On a tous les deux le cœur en ébullition.

 

Bénabar – Quatre mur et un toit